25 Oct Gulf de la Ciotat, Embiez et Cap Sicié – GABARITeng
ISBN N°
Atlas des Petites îles de la Méditerranée
CLUSTER
Golfe de la Ciotat, Embiez et Cap Sicié
Rédigé par : Vincent RIVIERE (initiative PIM)
Date de création : 20 mai 2018
Composition du cluster : îles | 21 |
Composition du cluster : archipels | 1 |
Nombre d’îles avec au moins un statut de protection national | 11 |
Nombre d’îles avec au moins un statut de protection international | 5 |
Nombre d’îles avec au moins un gestionnaire | 6 |
Description générale
Ce cluster est constitué d’environ 30 îles et îlots, réparties sur une distance linéaire d’à peine plus de 31 km séparant le Lion, ou îlot de Figuerolles à l’ouest (sur la commune de La Ciotat) des îlots de Magaud à l’est (commune de Toulon). La surface des îles et îlots reste relativement modeste, essentiellement constituée d’île de moins de 5 ha, bien que l’île des Embiez (ou Saint Pierre des Embiez), avec ses 95 ha, en constitue la plus grande surface émergée.
Les affleurements géologiques de ce cluster sont singulièrement différents du cluster occidental (substrats calcaires des îles de Marseille). Depuis les poudingues de l’Ile Verte (et du Cap Canaille) jusqu’aux phyllades du Cap Sicié et de l’archipel des Embiez, l’érosion de ces roches crée des faciès particuliers, dont le point commun reste la nature des sols, considérés comme acides. Ces îlots proches de la côte sont caractérisés par des fonds marins peu profonds et relativement riches, dont le récif barrière de Posidonie de la lagune du Brusc est l’une des caractéristiques.
Les traces d’occupation humaine sur les îles remontent au Vème siècle avant JC sur l’île des Embiez, et indiquent déjà une activité liée à la navigation. En effet, la protection naturelle contre les vents d’Est et de Sud qu’offre la Rade du Brusc, au sein du golfe de Six-Fours/Sanary et délimitée au sud par l’archipel des Embiez et au nord par les écueils de la Cride, crée ici un excellent mouillage. C’est sans doute en raison de ces conditions particulières qu’un comptoir Phocéen s’installe sur le littoral de Six Fours en même temps que ces derniers créent Marseille. C’est d’ailleurs au large de la rade du Brusc que la célèbre bataille Tauroetum en 49 av. JC, qui opposa les phocéens à l’armée de César, vit la victoire de ce dernier qui prit alors possession de Marseille.
Ainsi, malgré une forte exposition au mistral, ce chapelet d’îles n’a cessé d’être convoité tout au long de l’histoire. L’absence de traces et vestiges sur la majorité des îles ne signifie pas pour autant qu’elles n’étaient pas utilisées. On peut notamment penser que les pêcheurs ont exploité les iles et leurs fonds durant toute l’antiquité.
L’une des caractéristiques des îles de ce cluster réside également dans le fort niveau d’artificialisation. La surface artificialisée des îles de Bendor (la plus artificialisée du sous-bassin) et de l’île des Embiez est respectivement de 81% et 36,5%. La vocation touristique de ces îles est affirmée : propriétés de Paul Ricard, reliées par navettes quotidiennes au continent, elles sont aménagées dans le but d’accueillir un tourisme saisonnier (hôtels, restaurants). Cette orientation est moins marquée sur l’île Verte, qui offre uniquement une possibilité de restauration estivale. Dans une autre logique, les îles du Grand Gaou et du Petit Gaou, reliées artificiellement au continent, ont largement perdu l’originalité insulaire de leurs peuplements au profit d’une biodiversité plus banale et assez similaire au continent, notamment due à l’installation de campements et bidonvilles aujourd’hui nettoyés, et malgré d’importants travaux de restauration.
Exceptée cette activité touristique, on notera une diversité d’usages sur l’île des Embiez assez singulière : entre l’exploitation de sel initiée par les Moines de de l’Abbaye de Saint Victor en 1068 qui prit fin en 1935, une activité viticole installée dès la fin du 16ème siècle qui perdure aujourd’hui encore, puis une production de soude au cours du 19ème siècle, fermée en 1847 à cause de la pollution qu’elle dégage. Aujourd’hui, c’est l’activité scientifique de l’institut Paul Ricard qui est reconnue sur l’île.
Malgré ces activités et cette pression côtière, les îles et îlots de plus petite surface sont relativement bien conservés. L’avènement du tourisme nautique qui n’a cessé de croître au cours des dernières décennies génère un engouement pour les espaces les moins urbanisés, particulièrement marqué en période estivale sur l’île du Grand Rouveau.
Connaissances
On doit les premiers inventaires de la flore terrestre des îles du secteur aux écrits de Auzende en 1860, annotés par Jahandiez dans son guide du botaniste aux environs de Toulon. Il faut ensuite attendre les années 1930 pour qu’un élan scientifique s’intéresse de près à la biodiversité terrestre, toujours sous l’angle de la flore: Jahandiez et Parent s’intéressent alors à l’île de “Bandol” (Bendor), et à l’île Verte (1931, 1933 et 1935), puis Molinier inventorie la flore de l’Ile Verte (1935) et l’île des Embiez avec Moutte (1953), et publie avec ce dernier “la parure Végétale de l’île des Embiez” en 1987. Plus tard, les mammifères terrestres et l’ornithologie bénéficient du travail de Gilles Cheylan dans les années 1980. Dans le même temps, la connaissance herpétologique de ces îles a pu être mise à jour par le travail de Delaugerre. En 1999, c’est l’île du Grand Rouveau qui bénéficie d’un focus floristique et faunistique, grâce au travail du CEN Paca, alors Conservatoire Etude des Ecosystèmes de Provence. Plus récemment, l’intérêt croissant pour l’écologie insulaire des chercheurs de l’université d’Aix-Marseille, en lien avec le programme de l’initiative PIM, a permis, sur la base de ces éléments historiques, de réaliser une importante mise à jour des bilans floristiques et ponctuellement, des états-zéros sur des compartiments jusqu’alors inexplorés. C’est ainsi que l’île Verte bénéficie de compléments d’inventaires floristique et faunistiques, tandis que l’île du Grand Rouveau, dans le cadre du programme d’éradication de la Griffe de Sorcière, est plus systématiquement étudiée en vue de réaliser des états-zéro avant éradication, à l’instar du programme de restauration de l’île de Bagaud, menée par le Parc National de Port Cros. De fait, cette biodiversité insulaire est suivie annuellement depuis 2012, date de la première campagne d’ampleur d’éradication de l’espèce invasive, coordonnée par le Conservatoire du Littoral et le gestionnaire de l’île, et bénéficiant de l’appui du Parc National de Port Cros, de l’université d’Aix Marseille, et de l’implication de chercheurs et naturalistes de différentes structures. A titre d’exemple, la flore, l’avifaune nicheuse et le Phylodactyle d’Europe, reptile rare et en situation relictuelle sur les îles (excepté sur le littoral des Alpes Maritimes) bénéficient d’inventaires et de suivis réactualisés tous les ans.
Ceci dit, malgré un bon niveau de connaissance naturaliste global du cluster, certaines îles de petite surface restent peu connues, et globalement, le niveau de connaissance est largement moins important que celui de l’archipel des îles d’Hyères, qui bénéficient de monographies complètes. Aucun programme global de suivi de cette biodiversité n’est mené annuellement sur ces îles, excepté celui réalisé sur l’île du Grand Rouveau. Des inventaires complémentaires mériteraient d’être menés, notamment sur les compartiments biologiques les moins étudiés (Chiroptères, Mollusques, Insectes).
Intérêts
Malgré la diversité des faciès et de niveaux d’artificialisation, allant de milieux fortement anthropisés à des milieux encore ponctuellement sauvages et peu perturbés, l’analyse de la biodiversité insulaire apporte des éléments surprenants. En effet, au niveau floristique, les quatre îles les plus riches en espèces patrimoniales (i.e. espèces protégées, rares, endémiques) sont, par ordre décroissant, l’île des Embiez, l’île Verte et l’île du Grand Rouveau, puis celle de Bendor, malgré le fort niveau d’artificialisation de la première et de la dernière. Rapportée à la surface de ces îles, l’analyse de cet indice de richesse floristique à l’échelle de l’ensemble des îles du sous-bassin fait ressortir des couples d’îles aux profils diamétralement opposés : l’île des Embiez avec l’île de Bagaud (Réserve intégrale de l’archipel des îles d’Hyères), et l’île Verte avec l’île de Bendor.
Malgré tout, ces îles restent beaucoup moins riches que celles des parcs nationaux limitrophes (parc national de Porc Cros, parc national des Calanques). On notera, à titre d’exemple, que le rare Phyllodactyle d’Europe, Euleptes europaeus, est présent uniquement sur l’île du Grand Rouveau, et semble avoir disparu des autres îles.
Sur le plan architectural, le phare de l’île du Grand Rouveau, construit en 1861 est l’élément le plus remarquable du patrimoine bâtit. Marquant l’entrée du golfe de Six-Fours/Sanary, il culmine à presque 50 m au-dessus de la Mer. Les pierres utilisées pour le parement sont constituées de blocs en calcaire de Cassis. Sur l’île des Embiez, on notera l’édification en 1863 du Fort Saint Pierre, ancienne batterie de marine, qui abrite aujourd’hui le musée et l’aquarium de l’institut océanographique Paul Ricard.
L’institut est d’ailleurs l’un des hauts-lieux de la préservation et de recherche scientifique privés des fonds marins. Créé en 1966, il est certainement à l’origine de la bonne connaissance et de la reconnaissance de la richesse du patrimoine naturel marin de l’archipel des Embiez et au-delà.
Au niveau marin, le récif barrière de Posidonie de la Lagune du Brusc mérite d’être souligné. Formation créée par une croissance de un à plusieurs millénaires, elle est considérée à la fois comme une relique et un véritable paysage remarquable. Considérant que la plupart des recifs barrières ont été détruits par aménagements porturaires et urbains, cette formation a été a été inscrite dans le “Livre Rouge” des végétaux, peuplements et paysages marins menacés de Méditerranée (Rouanet et al, 2009). On notera également les nombreux encorbellements à Lythophyllum lichenoïdes au niveau des roches médiolittorales inférieures, recouvrant dans la lagune du Brusc près de 50% du linéaire côtier rocheux, ainsi que les herbiers de Cystoseires et la présence de corraligène, jugé en bon état de conservation. Les paysages marins du secteur sont particulièrement appréciés des plongeurs.
Mais l’întérêt des fonds marins n’est pas uniquement d’ordre biologique ou esthétique. La découverte d’ossements humains datant d’environ 2 000 ans et répertoriés sous le nom de “l’Homme du Canoubier”, sur le site éponyme situé tout près de l’île des Embiez. Ce site, découvert presque fortuitement, s’est avéré être un probable “cimetière à bateaux” parmi les plus intéressant pour l’évocation de la navigation dans l’Antiquité. La découverte d’ossements humains dans un site sous-marin datant de l’Antiquité est suffisamment rare pour être remarquée.
Pressions
La présence historique et continue des hommes sur ce secteur depuis l’Antiquité, qui se vérifie aujourd’hui encore par un fort attrait touristique du prestigieux littoral de Bandol ou de l’île des Embiez se traduit sur le plan biologique par une forte perturbation accrue en période estivale.
Au niveau marin, elle se traduit par quelques rejets d’eaux usées par les plaisanciers directement dans les eaux, mais surtout par la dégradation des herbiers de Posidonie à cause du mouillage.
Sur le plan terrestre, si les activités industrielles n’existent plus sur les îles, les activités agricoles sont marginales, et ne s’exercent plus que sur l’île des Embiez avec la production viticole locale. Ceci dit, c’est encore une fois la pression touristique qui est à l’origine des principales dégradations, dont le point le plus remarquable fut l’installation de campements sauvages sur l’île du Grand Gaou, ou encore, la construction d’infrastructures touristiques, dont la variation de la fréquentation implique des consommations importantes d’eau et des rejets d’eaux usées. C’est notamment pour répondre à ces besoins que l’île des Embiez a été reliée au continent par un réseau de canalisations sous-marines, permettant l’approvisionnement en eau potable et l’évacuation des eaux usées.
En s’établissant sur les îles de manière pérenne, ou même temporaire, ou encore en rattachant ces dernières artificiellement au continent, l’Homme au travers de ses activités ou des flux qu’il génère, introduit également des espèces invasives, et fragilise le patrimoine insulaire. On observe, sur l’île de Bendor, dont la surface est comparable à celle de l’île du Grand Rouveau, deux fois plus d’espèces exotiques envahissantes. Il ne reste d’ailleurs sur les îles artificialisée que de rares enclaves d’habitats et d’espèces originales.
On note la présence d’espèces invasives sur la majorité des îles et îlots. A titre d’exemple, la Griffe de sorcière, Carpobrotus sp., est présente sur les 4 plus grands îlots du cluster, mais également sur des îlots de faible surface (île du Petit Rouveau). Le Rat Noir, autre espèce invasive largement représentée, bénéficie de la présence du Carpobrotus. En se nourrissant des fruits, il favorise la dissémination des graines. Les deux espèces tirent un bénéfice mutuel dans cette association, au détriment du patrimoine naturel insulaire. Seuls les territoires les plus modestes, d’une surface de l’ordre de l’hectare ou moins, semblent relativement préservés. Des cas manifestes d’extinctions biologiques sont documentés avec notamment l’exemple du Phyllodactyle d’Europe. Cité dans la première partie du XXème siècle des îles des Embiez, de Bendor, de l’île Verte et du Grand Rouveau, il ne subsiste aujourd’hui que sur la dernière. Enfin, l’impact de la Fourmi d’Argentine (Linepithema humile), présente sur l’île des Embiez (Berville, 2013) et sur laquelle elle semble avoir contribué à la disparition des insectes rampants, constitue une menace supplémentaire qui pourrait en cas d’introduction sur les îles, entraîner de profonds déséquilibres biologiques.
Dans son travail de synthèse sur les îles et îlots de Provence, M. Fouchard identifie clairement que les priorités d’actions de lutte contre les espèces invasives sont à mener sur ce cluster.
Gestion / conservation
Le niveau de protection des espaces terrestres est très inégal. En effet, une île comme l’île Verte à l’ouest cumule des niveaux de protection national et international (site classé, site inscrit, site Natura 2000) et appartient désormais au Parc National des Calanques.
Ainsi, l’île est comprise au sein du coeur terrestre du Parc National, tandis que l’aire marine adjacente est comprise au sein du cœur marin. Les activités de chasse, de bivouacs, de feux sauvages ou encore la dégradation du patrimoine naturel y sont interdites ou réglementées. Dans la partie marine, la pêche est autorisée à l’extérieur des zones de non prélèvement, et le chalutage interdit à moins de 100 mètres de fond. La Baie de la Ciotat est quant à elle intégrée dans la zone marine adjacente. La gestion et la surveillance de ce secteur est donc assurée par le Parc National des Calanques
A l’autre extrémité du cluster, si la partie marine des îles de l’archipel des Embiez est reconnue par un classement international au titre de Natura 2000, la partie terrestre en est presque totalement exclue, malgré son intérêt. Puis, plus à l’Est, en face du Cap Sicié, les parties marines et terrestres des Rochers des deux Frères sont également incluses au sein du site Natura 2000, puis les îlots des Magaud Est et Ouest sont à nouveau orphelins.
Le classement en Aire Spécialement Protégée d’Importance Méditerranéenne vient partiellement combler ce déficit de protection sur l’archipel des Embiez, mais aucune législation spécifique n’y est cependant appliquée. La ville de Six Fours, gestionnaire de l’île et du DPM adjacent attribué au Conservatoire du Littoral, se charge de la surveillance, de la sensibilisation des visiteurs. Propriétaire de l’île du Grand Rouveau, le Conservatoire du littoral permet aujourd’hui de préserver plus durablement l’une des îles de l’archipel des perturbations touristiques importantes qui s’y exercent.
Ainsi, à l’échelle du cluster, c’est d’abord la réglementation existante qui pourrait être mieux appliquée, ou tout simplement actualisée. On prendra pour exemple l’arrêté préfectoral interdisant la navigation et le mouillage au sud du Grand Rouveau, que les gardes du Littoral ne peuvent faire appliquer actuellement, car allant à l’encontre des pratiques des plaisanciers. En complément, ce sont des périmètres de protection plus rigoureux qu’il conviendrait de mettre en place, afin de préserver durablement les patrimoines insulaires préservés et encore peu perturbés. Enfin, une action de conservation par acquisition foncière pourrait être envisagée sur l’île Rousse, qui demeure, sur l’ensemble du cluster, et au-delà à l’échelle du sous-bassin, l’une des îles privées, sans usage manifeste, parmi les moins perturbées. Sur ces espaces dont la vocation future sera orientée vers la conservation du patrimoine naturel, des actions de génie écologique importantes sont à prévoir, à l’instar des opérations innovantes menées sur l’île du Grand Rouveau.
TITRE ENCADRE
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tableau
NOM DES ILES ET ILOTS | NOM DE L’ARCHIPEL | surface (ha) | Altitude max (mètre) | Linéaire côtier (mètre) | Distance à la côte (mile nautique) | Latitude | Longitude |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Ile des Embiez / Ile de la Tour fondue / Ile St Pierre des Embiez | Archipel des Embiez | Y | Y | Y | Y | Y | Y |
Ilot ouest des Embiez (L’Enragé) | Archipel des Embiez | Y | Y | Y | Y | Y | Y |
Ilot nord-ouest du Grand Gaou (Le Lotus) | Archipel des Embiez | Y | Y | Y | Y | Y | Y |
Ilot nord des Embiez (La Dode) | Archipel des Embiez | Y | Y | Y | Y | Y | Y |
Ilot nord des Embiez (L’Ivre) | Archipel des Embiez | Y | Y | Y | Y | Y | Y |
île du Grand Rouveau | Archipel des Embiez | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 |
île du Petit Rouveau | Archipel des Embiez | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 |
Les Magnons Nord | Archipel des Embiez | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 |
Les Magnons Sud | Archipel des Embiez | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 |
La Cauvelle / La Croisette | Archipel des Embiez | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 |
Ilot Nege Froume | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 | |
Ilot de Magaud Est | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 | |
Ilot de Magaud Ouest | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 | |
Ecueil du Trou de l’Or | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 | |
Le Lion ( ilot Figuerolles) | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 | |
La Cauvelle / La Croisette | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 | |
Ilot du Trou du Diable | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 | |
Rocher de la Pointe de Mourret | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 | |
Ilot du sous-marin /Torpilleur | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 | |
Le Grand Gueirouard / La Gardiole | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 | |
Île de Bendor | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 | |
Île Rousse / Pierreplane | Ligne 2, colonne 3 | Ligne 2, colonne 4 | Ligne 2, colonne 5 | Ligne 2, colonne 6 | Ligne 2, colonne 7 | Ligne 2, colonne 8 |
Principales ressources bibliographiques
- Berville L., 2013. Inventaire myrmécologique de l’île des Embiez. Rapport IMBE Aix-Marseille Université, Aix-en-Provence : 15p.
- Cheylan G., 1985. Présentation des îles provençales. In : Oiseaux marins nicheurs du Midi et de la Corse. Parc national de Port-Cros, Parc naturel régional de Corse et Centre de recherche ornithologiques de Provence, Aix-en-Provence : 5-10.
- Degiovani A., 1992. Les Embiez, sentinelle avancée du pays provençal. Ed. Institut océanogr. Paul Ricard, 40 p.
- Delaugerre M., Cheylan M., 2012. Observations et remarques sur l’herpétofaune des îlots de Provence (de Six-Fours à la Londe). Initiative PIM, 13 p.
- Fouchard M., 2013. La biodiversité des petites îles de Provence-Côte d’Azur : éléments de synthèse en vue d’une stratégie régionale de conservation. Rapport de stage, Master 2 Sciences de la biodiversité et écologie, Parcours professionnel Expertise écologique et gestion de la biodiversité (EEGB). Aix-Marseille Université, Aix-en-Provence, 35 p. + 1 vol. d’annexes : 22 p. + 1 CD-Rom.
- Médail F., 2000. Flore et végétation de l’île du Grand Rouveau (archipel des Embiez, S.-E. France). Bulletin de la Société Botanique du Centre-Ouest, 31 : 21-46.
- Molinier R., Moutte P., 1987. La parure végétale de l’île des Embiez. Collection Nature méditerranéenne, Ed. Fondation océanogr. Ricard, 48 p.
- Pavon D., Croze T. & Casanova N., 2012. Contribution à la connaissance et à la conservation de la flore des îles et îlots de l’archipel des Embiez (Six-Fours-les-Plages, Var). Bulletin de la Société Botanique du Centre-Ouest, 43 : 137-160.
- site internet : http://mglebrusc.free.fr/textes/le%20milieu/intro_sentier%20decouverte.html